Anesthésistes

Visite OBLIGATOIRE : rendez-vous chez l’anesthésiste

La consultation avec l’anesthésiste est obligatoire et doit être réalisée au dernier trimestre de la grossesse, un mois avant le terme (soit généralement au cours du 8ème mois).
Cette consultation est très importante et ne vous oblige absolument pas à avoir une péridurale.

Lors d’une grossesse ne présentant pas de risque de complication, l’accouchement peut ne pas se passer comme prévu. Il est donc important, même si vous ne souhaitez pas bénéficier d’une péridurale, de préparer l’éventualité d’une complication et donc d’une nécessité d’anesthésie en urgence, comme par exemple une césarienne. Cette consultation permet d’anticiper d’éventuelles complications autour de l’accouchement.

Rappel : la consultation d’anesthésie est obligatoire. En ce sens, il est impératif de prendre au plus tôt votre rendez-vous auprès du secrétariat d’anesthésie

Comment ça se passe ?

L’anesthésiste vous posera des questions sur votre santé et vos antécédents, vos allergies, vos traitements. Il prend connaissance de votre dossier médical, réalise un examen clinique et vérifie vos bilans sanguins. Il vérifie votre dos au cas où une péridurale doive être posée.
Cette consultation permet de dépister des difficultés et fait le point sur d’éventuelles contre-indications.

Et le jour de l’accouchement ? 

Vous avez rencontré l’un des anesthésistes de la maternité, mais le jour de votre accouchement vous n’aurez pas forcément affaire à lui. Soyez rassurée. Dans les maternités, un anesthésiste est là de jour comme de nuit, disponible à n’importe quelle heure pour les péridurales. Et ce praticien trouvera immédiatement toutes les informations utiles dans votre dossier obstétrical. L’anesthésiste de garde y trouvera toutes les informations utiles, même s’il ne vous connaît pas.

N’ayez plus peur de la péridurale

  • La « piqûre » ne fait pas mal car l’injection est précédée d’une petite anesthésie locale.
  • Les maux de dos redoutés sont liés à la grossesse et à l’accouchement, et non à l’anesthésie.
  • Une bonne fois pour toutes : les risques de paralysie sont quasi nuls
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